Louise, profession Fredonneuse
n’est pas ce qu’on appelle couramment un spectacle.
Louise a cela de particulier
qu’elle ne peut exister seule…
c’est une petite forme idéale
pour accompagner un festival,
agrémenter un « avant » ou un « après » spectacle,
devenir une éventuelle étape de spectacle déambulatoire.
C’est un petit plus accessible offert à qui veut,
une petite bulle intimiste et poétique,
un cadeau partagé.
Louise a déjà fredonné dans une tente, dans une pièce d’appartement, dans un train, sur des marchés, dans des bibliothèques, dans un musée, dans un Relais Assistantes Maternelle, dans une maison de retraite, dans les bureaux d’une entreprise, pour diverses nocturnes, pour la Fête de la Musique, les Journées du Patrimoine, l’Auxois Dijon, la Fête des Jardins, pour le Festival des Chouettes, le Festival Silhouette (Paris), les festivals « Chalon dans la rue » (off du off), « Jours de Fête », « Grésilles en Fêtes »(Dijon), « Les Nuits Péplum d’Alésia »…
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Louise vous attend chez elle
Frappez… Entrez… (quand elle vous y aura invité bien sûr !)
Asseyez-vous, et… laissez-vous fredonner quelques notes…
C’est de bon coeur, rien que pour vous.
Chez Louise
Au loin, vous apercevez une tente colorée. C’est la demeure de Louise. Sur la porte est inscrit : Louise, Fredonneuse. Frappez avant d’entrer ! C’est elle qui vous fait entrer, un(e) par un(e), ou accompagné(e) d’un enfant. Vous êtes invités à vous asseoir, et à choisir la chanson que vous voulez écouter : soit en choisissant dans une liste, soit en tirant au sort, soit en demandant à Louise d’interpréter celle qui lui plaît. Louise se donne le ton à l’aide d’un drôle d’instrument (pitch pipe) et commence à fredonner. Voilà !
Et Louise peut aussi…
voyager avec son intérieur intimiste (table, chaises, vase, fleurs, tableau…) et s’installer dans toute pièce isolée (espace dans un jardin, kiosque, loge de théâtre, pièce dans un appartement, chalet…), ou se déplacer, sans décor, avec uniquement son siège pliant.
Pourquoi Louise ?
Louise aime partager les textes qu’elle a aimés. Louise aime les vrais échanges humains. Louise aime prendre son temps, et aimerait que les autres le prennent aussi. Alors, le temps d’une chanson elle vous offre la chance de prendre le temps d’écouter, vraiment. Des paroles, le grain d’une voix, l’émotion du moment.
Il y a peu, Louise…
…est partie à la rencontre des résidents de l’EHPAD (résidence médicalisée) de Semur-en-Auxois.
Dans le jardin, dans les salons et directement dans les chambres des personnes ne pouvant se déplacer (qui ne bénéficient donc pas des animations collectives).
Ici, le rapport privilégié, qui s’installe entre la comédienne et le résident, rend la rencontre d’autant plus intense, l’échange individuel et personnalisé d’autant plus riche.
Quelques mots de ceux qui ont rencontré Louise :
« Moment privilégié. Merci. »
« Très jolie idée. Originale ! »
« J’ai passé un moment des plus agréables. Merci. »
« C’était très impressionnant ! »
« Merveilleusement magnifique ! Vous avez une voix captivante. »
« Merci pour ce moment de beauté « cadeau ». »
« L’intimité c’est pas facile. Une petite épreuve qu’il faut vivre, ça marche. »
« Bravo et encore ! »
Louise dans la presse :
« Louise fredonne de ville en ville. Elle a mis une douce ambiance poétique sur le marché de Semur. » Bien Public – Semur-en-Auxois
« Il ne s’agit pas là d’un show de chanteuse mais d’un échange. (…) Il se passe là quelque chose d’unique où Louise révèle à l’autre sa propre émotion. » Bien Public – Temps fort
« Sans tambour ni fanfare, a capella, Louise fredonne rien que pour nous. C’est magique ! » Le Châtillonnais
« Dégager autant de puissance émotive et animer les mots comme tu le fais… (….) C’est très émouvant. J’ai eu la larme à l’œil et j’ai perdu 500 grammes en 5 minutes ! » Zicmu Magazine
« Durant quelques minutes, écouter Louise est comme une parenthèse dans le temps, un moment de pause et de détente qui a fait beaucoup de bien à tous ceux qui ont osé frapper à la porte. » Bien Public – Saulieu
et parfois… Louise n’installe pas sa maison seule.
Elle peut partager l’espace poétique avec « une sœur, un frère, de cœur », comme elle l’a déjà fait avec Danielle Mordoj, conteuse (« L’une chante, l’autre conte »)